miércoles, 28 de diciembre de 2016

Periscope 807 from Madrid to the World.Default de aEspaña si quiebra Deu...

El próximo crack , el del Deutsche Bank por ejemplo no será un temblor ....

MOVIMIENTO POSTCAPITALISTA CIENTIFICO TRANSVERSAL. M7J España .MOVIMIENTO 7 JAQUES. LA ELITE POLITICA BANCARIA, EMPRESARIAL Y MEDIATICA ESPAÑOLA ES IGNORANTE Y CRETINA.Y A MÁS A MÁS ESTÁ QUEBRADA

MOVIMIENTO POSTCAPITALISTA CIENTIFICO TRANSVERSAL .MOVIMIENTO7 JAQUES.
LA ELITE POLITICA BANCARIA, EMPRESARIAL Y MEDIATICA ESPAÑOLA ES IGNORANTE Y CRETINA.Y ESTÁ QUEBRADA
CREYÓ QUE podía salvarse besando el culo de la élite neoliberal europea. Hoy esta élite parece desear su propia muerte, por lo que DEBEREMOS MANDAR A LA ELITE ESPAÑOLA AL MENOS VIRTUALMENTE AL CEMENTERIO DÓNDE YACEN LAS ELITES MEDIOCRATICAS CORRUPTAS QUE SE SUICIDARON A LO LARGO DE LOS SIGLOS XIX Y XX
El centro de Europa encabezado por la desahuciada Merkel, ignora su propia crisis existencial.
¿Cual podría ser la mejor noticia para el Santander de Ana Botín, la Societé General el Deutsche Bank que tener a todos los votantes no fascistas, a la izquierda, a la derecha y al centro, obligados a votar por un político CRETINO INTEGRAL que quiera cortar el estado de bienestar, echar trabajadores a la calle y extender la jornada laboral?
Berenberg, primo pequeño del Deutsche Bank QUEBRADO DECÍA QUE "Con suerte"2017 podría ser más una oportunidad que un riesgo".
La "oportunidad" es atacar los salarios, las horas y el bienestar, y enriquecer a las personas que tienen 40.000 millones de euros en el banco privado. Es sintomático del enorme error de cálculo político que la élite política europea está haciendo.
El presidente de la Comisión Europea, Jean-Claude Juncker, dijo el domingo a un periódico austriaco que no habrá ninguna salida a la federalizacion CRETINA de Europa.
Para completar el patrón de la idiotez intencional del Fondo Monetario Internacional (FMI), según fuentes del gobierno griego, eligió esta semana para presionar a Grecia más recortes de gastos Ignorando los ataques neonazis a los campamentos de inmigrantes en las islas griegas
En definitiva, se siente como si la élite centrista europea hubiera desarrollado un deseo de muertepara toda Europa.
En su novela Death in Venice de 1912, Thomas Mann retrata el deseo de muerte de la cultura europea cosmopolita a través de la obsesión amorosa de un anciano enfermo.
En la novela, las autoridades de la ciudad niegan la existencia de una plaga y, al hacerlo, crean las condiciones para su propagación.. La novela trata explícitamente de la autodestrucción del "alma europea". La situación de Mann en esta y otras novelas -el hotel Lido, el sanatorio suizo- resalta la fragilidad de una cultura transnacional una vez que estalla la crisis.
Para Mann, el mundo policultural del vestíbulo del hotel, donde los polacos hablan francés, los italianos se visten a la moda parisina y la banda toca selecciones de opereta húngara, es una frágil ilusión. Cuando una sola pieza se desmorona, todo cae..
Hoy nuestra policulturalidad es tan frágil como en la belle époque. Las libertades de Schengen son, todo menos reales. El programa Erasmus, el proyecto de intercambio de estudiantes de la UE, polinizó la vida de más de tres millones de estudiantes. Junto a la férrea y digna "ciudad de la cultura", los jóvenes europeos han estado creyendo en la escena artística de Berlín, en festivales de música masiva como Benicàssim en España, en la vida nocturna salvaje de Belgrado.Pero incluso esta cultura de base es frágil, porque sólo puede existir en un espacio cerrado de la política oficial. En la típica barra europea, playa o cafetería, la tolerancia existe porque las personas educadas dejan su nacionalidad y religión en la puerta.
La suposición de los jóvenes - implícita pero fuerte - es que toda política es una mierda pero no importa si ellos se puedan divertir..
Ahora la política y la nacionalidad de cada uno han comenzado a golpear la puerta. Y at the moment, han producido parálisis y miedo.
Los jóvenes responden a la nueva ola xenófoba asumiendo que el populismo de derecha ha ganado".
Mientras la élite confiada y transnacional se deleita con la famosa descripción de Samuel Huntingdon de los gobiernos nacionales como "residuos del pasado cuya única función útil es facilitar las operaciones globales de la élite ".A los demás que les zurzan.
Ahora se enfrentan a un movimiento internacional cuya coherencia crece a medida que disminuye la coherencia de los globalistas Obama, Wanda Merkel, Susanita , Mariano corrupto Rajoy y ........
Podemos detener esto?.Sí. Pero hay que rechazar la austeridad, invertir las privatizaciones de servicios públicos, basuras, electricidad,comunicaciones, transporte, subir los salarios y el robo del futuro de una generación joven..
La solucion es el Postcapitalismo científico datista e inteligente del MOVIMIENTO 7 JAQUES, antítesis de PP,PSOE,Ciutadans y Podemos.
ANGEL GIMENO MARIN. PRESIDENTE M7J

jueves, 2 de junio de 2016

Chiens de garde?


Plusieurs affaires viennent de secouer les médias. Si elles sont différentes dans leur détail elles posent toutes la question du droit à l’information et, au-delà du « respect », tant celui qui est dû aux journalistes, une profession qui subit de par le monde des agressions multiples et souvent meurtrières, que celui qui est dû par ces mêmes journalistes à leurs lecteurs, ou leurs auditeurs, ou leurs spectateurs. Car, pout pouvoir exiger – et souvent à juste titre – d’être respectés, les journalistes doivent être respectables. Que certains d’entre eux ne le soient plus est une évidence. C’est elle qui nourrit la prolifération de la « presse » sur internet, domaine ou le meilleur côtoie souvent le pire. Et, si cette prolifération assure un certain pluralisme, elle conduit aussi parfois à une cacophonie où le lecteur à bien du mal à se faire une idée de la fiabilité des sources. C’est ce qui alimente tant les « théories du complot » que la dénonciation, parfois pas si innocente que cela, du « complotisme ». Et de fait, il faut reconnaître que même les paranoïaques peuvent avoir des ennemis…

Trois affaires

Reprenons donc sur trois affaires qui ont défrayées la chronique récemment. La première est le licenciement par l’Obs (ex-Nouvel Observateur) d’Aude Ancelin, une journaliste connue qui cumulait, pour certains des actionnaires de ce journal, le tort d‘avoir écrit des articles empreint de sympathie pour le mouvement « Nuit Debout » et d‘être la compagne de l’un de ses animateurs, Fréderic Lordon[1]. Le scandale ici vient des motifs invoqués pour ce licenciement. On a prétendu qu’elle aurait écrit des articles « anti-démocratiques » et cela sans apporter le moindre commencement de preuve dans une accusation d’une telle gravité[2]. Il s’agit clairement d’une pratique du journalisme de la part des actionnaires de cet hebdomadaire (dont M. Bergé) qui relève du plus pur gangstérisme.
La deuxième affaire concerne l’émission de France-2 Des Paroles et Des Actes où était invité Jean-Luc Mélenchon jeudi 26 mai[3]. On sait que dans cette émission François Lenglet, membre de la rédaction du JT de France-2 prononça des propos calomniateurs sur le président dans le seul but de mettre l’invité en difficulté. Cette affaire s’est retournée contre le sieur Lenglet, l’obligeant, ainsi que France-2, à publier une rétractation honteuse[4]. Mais ce ne fut pas le seul scandale dans cette émission. Deux personnes avaient été choisies pour interpeler Jean-Luc Mélenchon, un boulanger à la mode, fournisseur de l’Elysée et certes pas représentatif des artisans avec ses 17 employés, et une jeune femme, Mme Cécile Imart-Bruno que l’on présentait comme un cadre ayant fait le choix d’un « retour à la terre » et qui s’est avérée être un ancien responsable financier de Bolloré au Chili, membre de la FNSEA (en dépit de ses dénégations, elle a été nommé par décret[5] au Conseil national de la transition écologique, au titre de la FNSEA[6]) et copinant avec des dirigeants socialistes, dont le Ministre de l’agriculture M. Le Foll. Si le choix de ces personnes relève de l’arbitraire de toute émission de télévision, le fait pour France-2 de ne pas les avoir présentés pour ce qu’ils étaient constitue un autre mensonge, et de fait confirme le fait que l’on avait voulu monter un traquenard à Jean-Luc Mélenchon. Ceci, venant en plus de l’affaire Lenglet déjà évoquée, condamne l’organisateur de cette émission, David Pujadas, et lui retire toute légitimité à se poser en journaliste impartial. Au delà, cette multiplication d‘incidents graves interpelle la direction de France-2 sur son éthique.
La troisième affaire est bien entendu la grève du syndicat du livre CGT lors de la journée d’action du mardi 24 mai, grève qui a frappé les journaux ayant refusé de passer la tribune de Martinez, le « patron » de la CGT. Ceci a provoqué un bel élan d’unanimisme de la part des éditorialistes pour dénoncer ce qu’ils appellent des « pressions inacceptables » et une atteinte à la liberté d‘opinion de la part de la CGT.

Démocratie et pluralisme

Il faut considérer en réalité ces trois affaires comme liées. Car, si l’on veut pouvoir prétendre que l’action de la CGT a bien été une atteinte à la liberté d‘opinion il faut démontrer que cette liberté existait bien au préalable. Or, c’est le contraire que montrent les deux autres affaires. Et l’on en revient au problème évoqué en introduction : si les journalistes veulent être respectés, ils doivent être respectables. Le fait de chercher à imposer une opinion unique à la presse est une attitude inacceptable. Mais, tel n’était pas la demande de la CGT qui souhaitait simplement qu’une règle de pluralisme d’opinions soit respectée.
Et c’est bien le non-respect de cette simple règle dans les principaux journaux qui aujourd’hui pose problème. Ce qui menace aujourd’hui la démocratie dans notre pays n’est donc pas tant l’action de la CGT, quoi que l’on puisse penser de cette dernière mais le comportement hostile au pluralisme de la majorité des responsables de la presse, qu’elle soit écrite ou audio-visuelle. Non qu’un journaliste n’ait pas à avoir ses propres opinions, ni qu’un journal n’ait pas à avoir de ligne éditoriale. L’existence de positions politiques sur différents sujets est parfaitement légitime. Elle est même nécessaire. Mais, ces positions ne devraient pas interférer avec l’impératif du pluralisme. Les journalistes devraient avoir à cœur de toujours distinguer clairement ce qui relève de leurs opinions, qu’elles soient personnelles ou collectives de la présentation de l’ensemble des opinions sur un sujet donné. Ce comportement s’impose d‘autant plus que les différents sondages montrent qu’une majorité de l’opinion est hostile en tout ou partie à la loi El Khomri.
Le non-respect de cette règle de comportement pose aujourd’hui un problème majeur dans la société française. Ce non-respect ne date pas du mouvement actuel contre la loi El Khomri. On avait pu déjà noter ce phénomène lors du débat qui avait accompagné le référendum de 2005 où près de 90% des éditorialistes, mais aussi des papiers et opinions publiés allaient dans le sens du « oui », alors qu’en définitive ce fut le « non » qui l’emporta[7]. Du 1er janvier au 31 mars 2005, le rapport entre les temps de parole donnait, pour l’ensemble des émissions (soit les journaux télévisés, les émissions politiques et les émissions de divertissement), 71 % aux partisans du « oui » contre 29 % aux partisans du « non ». Pour les seuls journaux télévisés, le « oui » bénéficiait de 73 % du temps contre 27 % pour le « non »[8].
Et l’on retrouve cette configuration de manière récurrente dès que l’on aborde les questions européennes. Le pluralisme affiché par les différents organes de presse disparait alors et laisse la place à un quasi-unanimisme. Or, ceci ne correspond nullement à la palette des opinions dans la société française. Il convient donc de s’interroger sur ce journalisme « hors sol » ou quelques dizaines d‘éditorialistes et de journalistes considèrent non seulement qu’ils ont raison contre l’ensemble de la société (ce qui pourrait se concevoir) mais que leur position leur donne le droit de supprimer ou de discréditer – comme on l’a vu avec Jean-Luc Mélenchon dans DPDA – tout ce qui ne correspond pas à leur opinion.
Ces journalistes semblent donc se considérer comme les dépositaires d‘une « rente » dont ils usent et abusent à leur guise, ce que l’on avait déjà constaté en 2005[9]. Que ce type de comportement engendre alors une légitime colère chez ceux dont les opinions sont privées de ce droit à l’expression est alors pleinement compréhensible.

Les rentiers d’un système

On dira que, compte tenu de la structure de la propriété des organes de presse, tout ceci est logique. En effet, 6 hommes détiennent une large part des médias français.
Tableau-1
 Arnault, BernardBolloré, VincentBouygues, MartinDassault
Serge
Drahi
Patrick
Lagardère
Arnaud
JournauxLe Parisien
Les Echos
  Le FigaroLibération
L’Express
Le Point
Médias audio-visuels Canal+
I-Télé
Direct 8
TF1
LCI
Eurosport
 BFM-TV
RMC
 

Mais, si cette concentration de la propriété a son importance, elle est loin de tout expliquer. Si au sein des journalistes la compréhension que la défense de leurs opinions doit nécessairement s’accompagner d’une défense réelle du pluralisme et du respect de l’opinion d’autrui était mieux ancrée, gageons que les grands magnats de la presse seraient bien forcés de s’en accommoder. La concentration de la propriété ne peut aujourd’hui prendre l’importance politique qui est la sienne que parce qu’au sein de la « communauté » des journalistes et des éditorialistes s’est développée l’idée que la fonction confère à qui l’occupe un droit absolu de tenter de diriger les consciences.
Il faut donc bien comprendre la relation dialectique qu’il y a entre les bases matérielles de la production journalistique (les structures de propriété) et l’idéologie particulière développée par une partie des journalistes. Il faut aussi en mesurer les conséquences. Ce comportement de « rentier » qui est le leur, et qui trouve donc sa source tant dans cette structure de propriété que dans la représentation particulière du « rôle » du journaliste s’apparentant au curé d’antan (le « directeur de conscience ») induit désormais une méfiance généralisée à l’égard des sources traditionnelles d’information. Cette méfiance à provoqué le développement de sources alternatives, certaines de bonne qualité, d‘autres de qualité plus que médiocre. On peut toujours fulminer des anathèmes contre les sources de mauvaise qualité. La vérité est que le discrédit qui touche les sources traditionnelles est aujourd’hui tel que le développement de sources alternatives est inévitable et qu’il faut même souhaiter que de nouvelles sources puissent se développer avec le niveau de professionnalisme suffisant afin de faire concurrence aux sources traditionnelles qui ont failli.

Une trahison des clercs

Ce n’est pas la première fois que l’on constate ce phénomène en France. Avant la seconde guerre mondiale Julien Benda avait écrit un livre remarquable sur ce qu’il appelait la « trahisons des clercs »[10]. Il écrivait, dans la seconde préface à l’édition de 1947 de cet ouvrage : « Tout esprit libre reconnaîtra que l’idéal politique inscrit dans la Déclaration des Droits de l’Homme ou la Déclaration américaine de 1776 présente éminemment un idéal de clerc. Il est d’ailleurs indéniable que la démocratie, précisément par son octroi de la liberté individuelle, implique un élément de désordre. Quand dans un Etat, dit Montesquieu, vous ne percevez le bruit d’aucun conflit, vous pouvez être sûr que la liberté n’y est pas. »
Cet « élément de désordre » est la liberté elle-même. Il peut déranger des habitudes et des routines, et en cela provoquer des réactions négatives. Mais sans cet élément de désordre, que ce dernier prenne la forme de grèves ou de blocages divers, c’est à la liberté elle-même qu’il nous faudrait renoncer. Voilà donc ce qu’il convient de rappeler à cette communauté des journalistes si prompt à s’enflammer pour sa propre défense et si oublieuse des principes au nom desquels elle prétend agir.
Julien Benda déplorait l’abandon par les intellectuels eux-mêmes de leur fonction critique. Il en déduisait l’entrée dans un âge d’organisation intellectuelle des haines politiques. Or c’est bien ce que nous avons vu à l’œuvre a travers ces trois affaires. Benda attribuait au « culte du succès » la trahison des intellectuels de son temps. Ce culte du succès n’est pas moindre aujourd’hui. Il ajoutait alors : « Nous ne demandons pas au chrétien de ne point violer la loi chrétienne, nous lui demandons, s’il la viole, de savoir qu’il la viole« . C’est la même chose qu’il convient de demander aux journalistes. Non pas qu’ils ne fassent plus de politique mais qu’ils respectent ceux qui ne pensent pas comme eux. Faute de quoi nous pourrons considérer qu’ils ne sont que les chiens de garde du système.

[1] https://blogs.mediapart.fr/patrick-abate-talange/blog/310516/aude-lancelin-victime-dune-presse-en-mal-dindependance
[2] http://www.lefigaro.fr/flash-eco/2016/05/20/97002-20160520FILWWW00413-l-obs-l-intersyndicale-contre-un-licenciement-d-aude-lancelin.php
[3] http://www.francetvinfo.fr/replay-magazine/france-2/des-paroles-et-des-actes/des-paroles-et-des-actes-du-jeudi-26-mai-2016_1458257.html
[4] http://www.francetvinfo.fr/replay-magazine/france-2/des-paroles-et-des-actes/des-paroles-et-des-actes-mise-au-point-de-francois-lenglet_1475667.html
[5] https://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000029368747
[6] http://www.jlm2017.fr/les_mensonges_de_la_fnsea_ja_bras_arme_de_l_agro_industrie
[7] Sapir J., La fin de l’euro-libéralisme, Le Seuil, Paris, 2006.
[8]. Chiffres présentés lors de l’émission du 10 avril 2005 et installés sur le site ACRIMED le 11 avril, à l’adresse : http://www.acrimed.org/article1980.html .
[9] Lordon F., « La procession des fulminants », texte installé sur le site ACRIMED, http://www.acrimed.org/article2057.html
[10] Benda J., La

domingo, 8 de mayo de 2016


"MANIFIESTO DE LA RESISTENCIA" .(ALIANZA POLÍTICA LA RESISTENCIA)

Ante la peor crisis política y económica de la Historia de España desgobernados por corruptos 
"La Resistencia" impulsa la " ALIANZA POLÍTICA LA RESISTENCIA", una coalición transversal de asociaciones cívicas pacíficas, enemigas de la violencia, de todo tipo de ideologías de centro, derecha o izquierda, de todo tipo de religión, clase social, género, estudiantes, parados, jubilados, gente asustada y en situación precaria que viven gracias a Cruz Roja y  Cáritas, mareas como la blanca, verde, negra, desahucios, asociaciones de periodistas, economistas ,profesionales, empresarios en crisis, clases medias castigadas, jueces, fuerzas de seguridad y ejército, defensores de la soberanía financiera española, del medio ambiente, enemigos de la corrupción, de  la casts VIEJA  y NUEVA y el poder omnipotente de banqueros quebrados y corruptos
"La Resistencia", está dispuesta a cambiar este país mediante una revolución pacífica constituyente

"La Resistencia" propondrá  manifestaciones pacíficas, movilizaciones, ocupación del espacio público, y de los lugares de trabajo en todas las Administraciones, de  los lugares de trabajo de los profesionales de todo tipo de actividades y especialmente los espacios de los medios de comunicación.

Si a pesar de todo, la intransigencia de Gobierno y Oposición no cede, "La Resistencia" está dispuesta a emular a Ghandi, Martin Luther King y Mandela, utilizando  las mismas formas  de desobediencia civil practicadas en India, EEUU y Sudáfrica, de forma que afecte al  funcionamiento del Estado, hasta que el Gobierna ceda y  facilite la formación de un  Gobierno de Unidad Nacional que  el pueblo español considere democrático.

"La Resistencia " considera  que tras el fracaso histórico de la transición impulsada por el dictador Franco, a través de la reinstauración de una  Monarquía parlamentaria, no queda otra que conseguir un Estado democrático moderno,en que la Libertad, División de poderes y la soberanía sean devuelvas al pueblo español, perdidas hace más de setenta y cinco años  tras  ser derrotado en la  Guerra Civil más cruenta de la Historia.

ACABAR CON EL PARO, sacrificando lo que haya que sacrificar, Y RECUPERAR LA SOBERANÍA PERDIDA DEL PUEBLO ESPAÑOL, son los  objetivos más importantes de esta etapa de nuestra Historia.

"La RESISTENCIA" afirma que  el Sistema Político Español no puede sostenerse al haber entrado en quiebra todas y cada una de sus instituciones.

PPy PSOE se han cargado el modelo productivo, el Estado de las Autonomías, la educación tiene perfiles tercermundistas, el Estado del Bienestar corre serio peligro y la partitocracia se ha convertido en el peor enemigo de los españoles.

El pésimo nivel de nuestros políticos con corrupción por todas partes, sumado al absentismo de la sociedad civil durante lustros, y la pérdida de todo tipo de valores pintan un horizonte negro como en ningún país europeo.

Hay que empezar un nuevo ciclo de nuestra vida política y económica antes de que sea demasiado tarde.

Rajoy ha convertido el Estado Español en un Protectorado de soberanía  financiera y económica suspendida, al firmar el memorandum of understanding y sernos aplicado el procedimiento por déficit excesivo.

Ha consentido, tras mentir descaradamente al pueblo español, que la Comisión Europea sea el verdadero Gobierno de España, pues es quien indica las medidas a tomar, y  controla su aplicación.

Lo más grave, en un ejercicio de inusual sinceridad, es que todo un Presidente de Gobierno de España, sin la menor dignidad se ha permitido decir:

"Los españoles no podemos elegir. No tenemos libertad. Nos guste o no nos guste , no tenemos más remedio que hacer lo que nos ordenan".

Esto  lo podríamos llamar como poco DEJACIÓN DE SUS  RESPONSABILIDADES COMO PRESIDENTE DEL GOBIERNO DE ESPAÑA, y nos obliga a exigirle su dimisión

Habría que someter a Rajoy a un proceso de impeachment, con mayores motivos que los aducidos en EEUU contra Nixon.

No podemos permitir que un sentimiento de impotencia ante una pésima forma de gobernar hipoteque nuestro futuro y el de nuestros hijos.

Hay que cambiar todo de nuevo,especialmente nuestra forma de participar en la vida política. Hace falta crear la masa crítica política suficiente para reformar y regenerar nuestras instituciones cambiando nuestra forma de vivir, de trabajar y defender nuestros legítimos intereses.

Hace falta salir a todas las calles en manifestaciones pacíficas a lo Gandhi, con un fin claro: acabar con métodos democráticos con el Sistema Político que nos dimos en la Transición y empezar de nuevo la Regeneración  de España.

PP y PSOE deben entrar en el cementerio de los Partidos Políticos cuanto antes.
El proceso de elección de los peores a los más altos cargos de los Partidos y del Gobierno, cuando se alternan en el mismo, dirigen inevitablemente a PP y PSOE al cementerio de los Partidos Políticos saturado de tumbas dónde duermen el sueño eterno, organizaciones políticas que en los dos últimos siglos ilusionaron a pueblos enteros y hoy no los recuerda nadie.

¿Qué queda del comunismo, del anarquismo, de los partidos radicales? ¿Qué quedará del PP y PSOE tras la dirección de los peores presidentes de la democracia  falseada  que hemos vivido desde 1978? Nada de nada. Ni tan siquiera el recuerdo.

Sinceramente, tras el Debate del Estado de la Nación en este triste Febrero de 2013, entre el presidente del Gobierno y el líder del PSOE, tenemos el convencimiento de que el Congreso de los Diputados actual es incapaz de RESOLVER LA CRISIS DE ESTADO, RÉGIMEN Y DEMOCRACIA EN LA QUE ESTÁ ESPAÑA EN ESTOS MOMENTOS.

2013 será el año de la verdad, año en el que nos jugamos el futuro de España, el nuestro, y el de nuestros hijos.

HA LLEGADO LA HORA DE "LA RESISTENCIA" DE LOS ESPAÑOLES, HIJOS DE   UNA NACIÓN CON UNA HISTORIA EJEMPLAR, LLENA DE HOMBRES Y MUJERES DE INMENSO VALOR, DISPUESTOS  A MORIR POR RECUPERAR SU LIBERTAD ,LA DEMOCRACIA Y SU SOBERANÍA.

MANIFIESTO DE  "LA RESISTENCIA" 

viernes, 6 de mayo de 2016

'Papeles de Panamá': ¿Con qué propósito se creó el país de las 'offshores'?

'Papeles de Panamá': ¿Con qué propósito se creó el país de las 'offshores'?: En este episodio de 'Keiser Report', Max y Stacy discuten la nueva y brillante vida colectiva que se vende a los residentes de ingresos decrecientes mediante el reciclaje de las mismas viejas consignas de propaganda e imágenes del pasado. En la segunda parte, Max entrevista a Michael Hudson, autor de 'Matar al huésped', con quien conversará acerca del propósito del blanqueo de dinero en Panamá y qué relación tiene ello con las revelaciones largamente olvid'Papeles de Panamá': ¿Con qué propósito se creó el país de las 'offshores'?

Publicado: 5 may 2016 13:52 GMT | Última actualización: 5 may 2016 21:18 GMT
En este episodio de 'Keiser Report', Max y Stacy discuten la nueva y brillante vida colectiva que se vende a los residentes de ingresos decrecientes mediante el reciclaje de las mismas viejas consignas de propaganda e imágenes del pasado. En la segunda parte, Max entrevista a Michael Hudson, autor de 'Matar al huésped', con quien conversará acerca del propósito del blanqueo de dinero en Panamá y qué relación tiene ello con las revelaciones largamente olvidadas en los 'papeles'.

5549
"Panamá se creó por iniciativa de los sectores del petróleo y la minería y actualmente es el país que más banderas de conveniencia ofrece", apunta el experto y autor de 'Matar al huésped' Michael Hudson. "Una bandera de conveniencia significa que una empresa se domicilia en un país concreto para llevarse a él los beneficios que genera por todo el mundo, algo que ya se hacía en los años 20", explica.

Según Hudson, "Panamá no es un país como tal" ya que no cuenta con "un Gobierno, una divisa [utiliza el dólar estadounidense] y un sistema de impuestos sobre la renta de verdad".

El experto explica que, cuando trabajaba en la balanza de pagos del sector petrolífero en 1975, le preguntó a Standard Oil dónde declaraba sus beneficios. "En los países de expedición, a nivel internacional", respondió el tesorero de la compañía. "Esa región 'internacional' resultó estar compuesta por países como Panamá o Liberia que en absoluto podían considerarse internacionales, sino más bien parte de la economía estadounidense", revela Hudson, añadiendo que "algo parecido está pasando ahora con Apple, que paga sus impuestos en un país con una baja presión fiscal como es Irlanda y en otros paraísos fiscales".

"Así es como las grandes empresas del mundo consiguen no tener que pagar impuestos", denuncia.

Asimismo, el escritor afirma que la información que aparece filtrada en los papeles de Panamá podría haberse deducido del análisis de las cuentas de las balanzas de pagos de los distintos países. "El boletín del Tesoro estadounidense o el de la Reserva Federal, que contienen información sobre los pasivos de las filiales estadounidenses en el extranjero, permiten calcular cuánto dinero procede de las filiales de EE.UU. domiciliadas en Panamá, las Indias Occidentales británicas, Liberia, etc.", apuntaadas en los 'papeles'.

martes, 26 de abril de 2016

Sociedad q crea Empleoparatodos para todos


La grave situación actual
Para afrontar los problemas, las sociedades y los Gobiernos deben afrontar la realidad por difícil que sea.

Hay que tener la valentía de admitir que buena parte de la actividad industrial española, tal y como funciona en la actualidad está condenada a desaparecer  en muy poco tiempo.

No digo que no haya que tratar de salvar los empleos existentes. Pero también digo que es mucho más útil dedicarlos a planes de transformación radical de la actividad económica.

Hay que reconvertir a los trabajadores que se encuentran en sectores obsoletos y, sin que pierdan sus ingresos, debemos aumentar su nivel de educación ya que  no son responsables del cierre de sus empresas.

Si para algo debe servir la Unión Europea es para resolver estos dos tipos de problemas:

- Reconvertir mediante una formación adecuada a los trabajadores que saldrán de la Industria, Construcción y Servicios por la caída de la competencia en sectores que la mundialización ha dejado obsoletos.

- Facilitar la entrada de los jóvenes en el nuevo sistema productivo que tenemos que crear a nivel europeo.

Y debe hacerlo poniendo a disposición de los países europeos unos Fondos Comunitarios para el  Nuevo Empleo, que habrá  que crear y destinar a todos los países, pero especialmente a aquellos en los que el desempleo presenta su peor cara, cual es el caso de España.

España en ningún caso puede ser considerada un laboratorio de pruebas para crear empleo,  como ha insinuado el Presidente de Gobierno con su típica y desagradable frivolidad.


La sociedad polen


El economista Moulier-Bountang considera que debemos tomar en consideración lo que realiza la abeja en la naturaleza. Cuando pensamos en el trabajo que desempeña una abeja, rápidamente dibujamos en nuestra mente la imagen de un panal relleno de miel. Pero la labor más importante no es su producción de miel, sino su capacidad innata de polinizar, que las hace imprescindibles para la vida del planeta.

Esta capacidad constituye el eslabón fundamental de la reproducción de los vegetales, hasta el punto de que se está buscando su reintroducción sistemática en todas las grandes metrópolis, compensando su exterminio por abonos e insecticidas.

El valor de la actividad de polinización no tiene precio.

Los americanos que siempre nos suelen preceder en todo, han calculado que la producción de miel puede dar lugar a unas exportaciones por valor de 100 millones de dólares. Sin embargo, los daños que causaría la desaparición de las abejas, que polinizan el 80% de de la producción de legumbres y frutas norteamericanas, ascenderían a más de 30.000 millones de dólares.  

Para hacernos una idea a nivel europeo, el papel de la polinización de las abejas para su  agricultura impresiona por su magnitud: 100% en la polinización de los almendros, 90% en los manzanos, 50% en el melocotón, 20% en el algodón, etc.,etc

Si las abejas desaparecieran nuestra querida España parecería un desierto.


La mayoría de las actividades económicas se dan en la circulación y no en la producción o el consumo.


El valor de la abeja está en su circulación y no en su producción.

Lo mismo pasa en la economía actual. Las interacciones son el corazón de las actividades económicas.

La mayoría de los actos en la economía actual se produce durante la circulación y no en la producción o el consumo.

Cohn Bendit, nos da un ejemplo interesante. Lo que vale Google no son sus trabajadores o sus cientos de miles  de ordenadores sino los casi quince  millones de personas por segundo que utilizan sus servicios, desarrollando la red.

Y todavía mejor que este ejemplo,  el del software libre, en el que el beneficio y el producto están al servicio de la comunidad de internautas, que así disponen de un software de mayor calidad.

La actividad humana, como diría Morin, se desarrolla en una sociedad compleja que podríamos ver como una sociedad polinizadora, fruto de múltiples interacciones generadoras de riqueza.

Lo que podemos destacar de esta visión polinizadora de la economía es que parece un medio ideal para la concepción de ideas e innovaciones así como para la difusión de las mismas.

De aquí en adelante debemos considerar que lo verdaderamente importante para crear una economía de actividades nuevas es favorecer la polinización social y la inteligencia colectiva.

Ser inteligentes supone mejorar nuestra relación con la naturaleza, la biosfera y la producción material, para disminuir los daños que causamos, aunque suponga de momento renunciar a beneficios inmediatos.

La preocupación por la sociedad polen permite entender sus malfuncionamientos, y sobre todo cambiar en profundidad las herramientas  y objetivos de los que ejercen la acción pública.


Los nuevos campos de actuación  generarán nuevos empleos
Si los políticos han sido tan generosos a la hora de evitar el hundimiento de nuestras instituciones financieras, colocando a toda Europa en una situación enormemente complicada en cuanto a la magnitud de su Deuda, deberían por un momento pensar en dedicar parte de la recuperación de la misma a las  energías renovables, a la renovación de nuestras ciudades, a la modernización del Sector del Automóvil y la Industria de la Construcción, a la lucha contra el cambio climático, a transportes menos contaminantes y a cultivos que no envenenen ni suelos ni organismos vivos.

Y si no bastara con ello,  habría que pensar en dedicar una parte de nuestros impuestos directos e indirectos a esta gran transformación que incluiría un desarrollo importante del por así llamarlo sector del  conocimiento europeo.

Reconstruir totalmente nuestro aparato productivo es un objetivo mucho más importante que los que se fijaron por la Unión Europea en la Estrategia de Lisboa, que fijaba a todos los países miembros dedicar un 3% de su PIB a Investigación y Desarrollo. Ese 3% se antoja hoy irrisorio.

Llegar a un 10% del PIB para I+D parece un objetivo ambicioso pero necesario, manteniendo la Inversión actual media europea del 25% en educación y formación permanente.

Prácticamente solo lo cumplieron los objetivos de Lisboa, Finlandia, Suecia y Dinamarca, y les ha ido mejor que a los demás.


¿Cómo financiar esta gran transformación del Sistema Productivo europeo?
Si más importante que la miel es la actividad de polinización, los impuestos que creemos tendrán que basarse en gravar la circulación y no el consumo.

Curiosamente en Europa los Bancos y la Gran Distribución, sectores en los que la circulación aparece más clara, no pagan IVA en sus transacciones.

Parece evidente que lo ideal sería gravar todas las transacciones bancarias por insignificantes que parezcan.Casi con ellas sería suficiente. 

Esas ingentes cantidades recaudadas deberían destinarse en exclusiva al cambio del Sistema Productivo Europeo, a formar y reconvertir a nuestros desempleados y sobre todo a colocar a todos y cada uno de nuestros jóvenes, que teniendo menos de 25 años ya pueden ser considerados como desempleados de larga duración.

En los próximos días continuaré profundizando en la mundialización, ese terremoto del que todavía no se han recuperado nuestros gobernantes y en  los cambios que necesita el Sistema Productivo Europeo, y lógicamente el nuestro, uno de los menos competitivos de toda Europa, para que el desempleo no nos impida conciliar el sueño.

lunes, 18 de abril de 2016


El oscuro pasado de la Reina Letizia de España

LAS MONEDAS DE JUDAS